La sommière des premiers effluve
Les spores du Namtar flottaient chaque jour dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de journée et de brouillard. Invisibles à bien l’œil nu, elles dessinaient des descriptifs complexes dans l’air, bouleversant l’état perceptif de ce qui les respiraient. Dans un minimum lumineux, qui entourent quelques clairiÃ